Ave, Ave, Ave Maria
Couronnée d´étoiles
Chez nous, soyez Reine !
Je suis la divine glaneuse
Je vous salue Marie de Cancale
Marie étoile de la mer
Mère de l’Espérance
Notre Dame des flots
Nous venons pour nos frères
Nous vous prions à deux genoux
O Maris Stella
Prends mon cœur, le voilà !
Soyez béni, Seigneur !
Vierge propice aux marins


 

Ave, Ave, Ave Maria

1. Vierge sainte, Dieu t’a choisie
Depuis toute éternité,
Pour nous donner son Fils bien-aimé,
Pleine de grâces, nous t’acclamons.

Ave, Ave, Ave Maria

2. Par ta foi et par ton amour,
Ô Servante du Seigneur,
Tu participes à l’œuvre de Dieu,
Pleine de grâces, nous te louons.

3. En donnant aux hommes ton Fils,
Mère riche de bonté,
Tu fais la joie de ton Créateur,
Pleine de grâces, nous t’acclamons.

4. Ô Marie, refuge très sûr
Pour les hommes, tes enfants,
Tu nous comprends et veilles sur nous,
Pleine de grâces, nous te louons.

5.Tu demeures près de nos vies
Nos misères et nos espoirs,
Pour que la joie remplisse nos cœurs,
Pleine de grâces, nous t’acclamons.

6. Ô Marie, modèle éclatant
Pour le monde d’aujourd’hui,
Tu nous apprends ce qu’est la beauté,
Pleine de grâces, nous t’admirons.

7. Tu nous mènes auprès de ton Fils
Qui nous parle de l’amour
Et nous apprends ce qu’est le pardon,
Pleine de grâces, nous t’écoutons.

 


Couronnée d´étoiles

Nous te saluons,
Ô toi, Notre Dame,
Marie Vierge Sainte que drape le soleil.
Couronnée d´étoiles, la lune est sous tes pas,
En toi nous est donnée
L´aurore du salut

1. Marie Ève nouvelle et joie de ton Seigneur,
Tu as donné naissance à Jésus le Sauveur.
Par toi nous sont ouvertes les portes du jardin.
Guide-nous en chemin, Étoile du Matin.

2. Tu es restée fidèle, mère au pied de la croix.
Soutiens notre espérance et garde notre foi.
Du côté de ton Fils, tu as puisé pour nous,
L´eau et le sang versés qui sauvent du péché.

3. Quelle fut la joie d´Ève lorsque tu es montée,
Plus haut que tous les anges, plus haut que les nuées.
Et quelle est notre joie, douce Vierge Marie
De contempler en Toi la promesse de vie.

4. Ô Vierge immaculée, préservée du péché,
En ton âme, en ton corps, tu entres dans les cieux.
Emportée dans la gloire, sainte Reine des cieux,
Tu nous accueilleras un jour auprès de Dieu.


Chez nous, soyez Reine !

1. Salut, ô Notre-Dame !
Nous voici devant vous,
Pour confier nos âmes
À votre Cœur si doux.

Chez nous, soyez Reine !
Nous sommes à vous !
Régnez en Souveraine
Chez nous, chez nous !
Soyez la Madone
Qu’on prie à genoux,
Qui sourit et pardonne
Chez nous, chez nous.

2. Vous êtes notre Mère :
Daignez à votre Fils,
Offrir l’humble prière
De vos enfants chéris.

3. Gardez, ô Vierge pure,
Ô Cœur doux entre tous
Nos âmes sans souillure,
Nos cœurs vaillants et doux.

4. Dites à ceux qui peinent
Et souffrent sans savoir
Combien lourde est la haine,
Combien doux est l’espoir.

5.  Le soir quand les fatigues
Alourdissent nos corps
Gardez nos cœurs prodigues
D’amour pur et d’efforts.


Je suis la divine glaneuse

1. Je suis la divine glaneuse
Allant par les champs moissonnés
Recueillir d’une main pieuse
Tous les épis abandonnés.

C’est en vous que j’espère, ô ma mère !
Venez en aide aux moissonneurs
Glanez, glanez sur terre,
Glanez les pauvres pécheurs.
Oh ! Par le rosaire
Apportez les épis
Portez la gerbe entière
Auprès de votre fils, (bis)

2. Je vais dans les plaines riantes
Chercher les épis encore bons,
Laissés par des mains négligentes
De tous côtés sur les sillons.

3. Je vais dans mes courses divines,
Dussè-je ensanglanter mes mains,
Dérober aux buissons d’épines
L’épi resté sur le chemin.

4. Enfin, je vole au précipice
Où le vent jette les épis :
Et je les porte avec délice
Dans les plaines du Paradis.


Je vous salue Marie de Cancale

Je vous salue, Marie, pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Je vous salue.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, votre Fils est béni,
Je vous salue.
Sainte Marie, priez pour nous ;
Mère de Dieu priez pour nous.
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Priez pour nous pauvres pêcheurs,
Maintenant, et à l’heure de la mort.
Ainsi soit-il


Marie étoile de la mer

1. Le temps partout est sombre
Au ciel aucun astre ne luit.
Hélas une terrible nuit
Va déployer son ombre.
Malheur à vous tristes jouets des flots.
Priez, priez, ô pauvres matelots, (bis)

Marie, ô douce étoile
Parais, brille à nos yeux
A travers les flots orageux.
Viens guider notre voile,
Marie, ô douce étoile,
Parais et montre-nous les cieux.

2. Voyez le noir orage
Qui gronde déjà dans les airs.
Voyez ces rapides éclairs
Enflammer les nuages.
Entendez-vous au loin le bruit des flots ?
Priez, priez, ô pauvres matelots, (bis)

3. En vain votre courage
Affronte la rage des vents.
Votre barque ne peut longtemps
Échapper au naufrage ;
La voyez-vous s’engloutir sous les flots ?
Priez, priez, ô pauvres matelots, (bis)

4. A vos cris de souffrance,
Joignez encore un cri d’amour,
Et la bonne Vierge à son tour
Vous rendra l’espérance.
Son doux regard apaisera les flots ;
Priez, priez, ô pauvres matelots, (bis)


Mère de l’Espérance

Mère de l’Espérance,
Dont le nom est si doux,
Madone de l’enfance,
Demeure auprès de nous !

1. O Vierge toute pure,
O Mère du Sauveur,
Vous êtes la plus belle
Des œuvres du Seigneur.

2. Vous êtes toute pure,
O Vierge sans péché
Vous êtes la parure
Du monde racheté

3. Soyez la route sûre
Qui nous conduit vers Dieu ;
O Vierge toute pure,
A tous ouvrez les deux I

4. O  femme incomparable,
Honneur du genre humain,
En vous l’espoir se cache
D’une éternelle paix.

5. Louange à Dieu le Père,
Au Fils, à l’Esprit Saint :
Au ciel et sur la terre,
Honneur à Dieu sans fin !

1. Tu es bien notre Mère,
Toi qui as visité
Sur leur lointaine terre
Les enfants extasiés.

2.  Apparaît ton sourire
Dans la nuit étoilée,
Tu fais toujours revivre
Les cœurs désemparés.

3. Apprends-nous la prière
Icône de beauté.
Dieu n’est-il pas le Père
Tout amour et bonté ?

4. Mère de toute grâce,
A l’univers troublé
Fais resplendir la Face
De ton Fils bien-aimé.

5. Ta douleur nous oppresse
Devant le Crudfié.
Tu mets nos coeurs en liesse :
Christ est ressuscité.

6.  Messagère joyeuse
De la sainte Cité,
Guide-nous, Bienheureuse
Aux chemins de la paix.


Notre Dame des flots

1. Ô Marie, ô notre Mère, toi qui règnes sur les flots,
Exauce notre prière : veille bien sur nos matelots
Pendant leurs longues absences, nous t’implorons à genoux
Prends pitié de nos souffrances, toi qui souffris comme nous.

2. Garde-les de la tempête, de la colère de Dieu.
En étendant sur leur tête un lambeau de ton voile bleu
Épargne-nous tant de larmes devant la vague en courroux
Dans nos yeux, taris les larmes, toi qui pleuras comme nous.

3. Hier, tu te le rappelles, nous avons de notre mieux
Orné toutes les chapelles de genêts et d’objets pieux
Sauve de la mer profonde nos enfants et nos époux
Ô toi qui fus en ce monde femme et mère comme nous.


Nous venons pour nos frères

1. Nous venons pour nos frères
Marie à vos genoux
Murmurer des prières
Ô Mère, exauce-nous
Sainte Vierge Marie,
Ne les oubliez pas
Si loin de leur patrie,
Marie, Marie, Marie,
Si loin de leur patrie
Ne les oubliez pas.

2. Bénissez-les, Marie
Oh ! Prenez-en bien soin,
Puisque c’est notre vie
Qu’ils vont chercher si loin.
Sainte Vierge Marie,
Bénissez leurs appâts,
Aidez leur industrie,
Marie, Marie, Marie,
Aidez leur industrie,
Bénissez leurs appâts.

3. En ce moment peut-être,
Eux aussi vont prier
Mais sans autel ni prêtre,
Hélas ! ils vont pleurer
Sainte Vierge Marie,
Ne les rebutez pas,
Vers vous, si leur voix crie
Marie, Marie, Marie,
Vers vous, si leur voix crie,
Ne les rebutez pas.

4. Mais il est des orages
Plus terribles encore :
Dans ces lointains parages,
Satan mugit si fort…
Sainte Vierge Marie,
Suivez-les jusque là
Si leur âme est meurtrie
Marie, Marie, Marie,
Si leur âme est meurtrie
Vite, guérissez-la !

5. Pendant que nous en fête
Chantons, ici joyeux
Peut-être la tempête,
Là-bas mugit contre eux :
Sainte Vierge Marie,
Ne les délaissez pas,
Et veillez sur leur vie
Marie, Marie, Marie,
Et veillez sur leur vie.
Ne les délaissez pas.

6. Gardez de tout naufrage,
Et leur âme et leur corps,
Malgré tous les orages,
Ramenez-les au port.
Sainte Vierge Marie
Sauvez-les du trépas,
Rendus à leur patrie,
Marie, Marie, Marie,
Rendus à leur patrie,
Ils ne t’oublieront pas.


Nous vous prions à deux genoux

1. Nous vous prions à deux genoux
Ô Mère si bonne et si tendre, Daignez intercéder pour nous,
Et de tout danger nous défendre.

Ave, Ave, Ave Maria I Ave, Ave, Ave Maria l

2. Nous attendons les doux bienfaits
De votre puissante prière,
Car Dieu ne repousse jamais
Les désirs du cœur de sa Mère.

3. N’êtes-vous pas du genre humain
L’étoile et la douce espérance ?
Jamais personne eut-il en vain
Recours à votre bienveillance ?

4. Vierge Marie, ô notre Amour,
À vos enfants daignez sourire :
Ils sont votre royale cour Et se plaisent à vous redire :

5. Guérissez les cœurs malheureux :
Donnez au malade qui souffre
La santé qu’appellent ses vœux :
Poussez le pécheur loin du gouffre.


O Maris Stella

Sancta Maria, ô Maris Stella, sans toi la France périra.
Veille sur elle, ô Maris Stella ! Veille sur elle, ô Maris Stella.

1.Le vaisseau « la France » n’ayant plus à bord
La foi, l’espérance, a quitté le port.

2. La mer est bien dure, mais les matelots
Vont à l’aventure, guidés par les flots.

3 Sans barre et sans voiles, ils vont devant eux
Sans chercher l’étoile au fond des grands deux.

4 Pour qu’il ne chavire, garde des dangers
Le pauvre navire et ses passagers.

5 Parais, ô bel astre, de tous attendu.
Sauve du désastre le bateau perdu.

6 Vois la foule immense qui prie à genoux
Grâce pour la « France » et pitié pour nous.


Prends mon cœur, le voilà !

1. Prends mon cœur, le voilà, Vierge ma bonne Mère
C’est pour se reposer, qu’il a recours à toi.
Il est las d’écouter les vains bruits de la terre :
Ta secrète parole est si douce pour moi.
J’aime tant, de ton front, la couronne immortelle,
Ton sourire si doux, ton regard maternel.
Mère plus je te vois, plus je te trouve belle
Et je viens déposer mon cœur sur ton autel.

2. Tu sais mon inconstance ; hâte-toi de le prendre,
Peut-être que ce soir, il n’en serait plus rien.
Il me faudrait pleurer pour me faire rendre,
Oh ! cache-le bien vite, enfermé dans le tien.
Et puis, si quelquefois, je te le redemande,
Oh ! ne me le rends pas, mais dis-moi, dès ce jour,
Dis-moi que tu ne peux accueillir ma demande,
Que je te l’ai donné, qu’il est tien sans retour.

3. Rends-moi pur à tes yeux, donne-moi l’innocence,
Un bon cœur pour t’aimer, et ton sein pour dormir,
La foi, la charité, la sublime espérance.
Tes vertus ici-bas, un beau jour pour mourir.
Quand mes yeux obscurcis baisseront vers la tombe,
Quand ma lèvre aura bu le calice de fiel.
Donne-moi, pour voler, des ailes de colombe,
Et viens me recevoir, à la porte du ciel.


Soyez béni, Seigneur !

Soyez béni, Seigneur
En l’honneur de la Vierge Marie,
Soyez béni, Seigneur.1 – Vous êtes belle, ô Notre Dame,
auprès du Père en Paradis,
Comblée de biens par le Seigneur
dont l’Amour chante en votre vie.

2 – O Vierge, Mère du Sauveur,
depuis toujours, Dieu vous aimait,
Pensant à vous pour être là
quand parmi nous son Fils viendrait.

3 – Le Seigneur vint un jour du temps
pour partager notre labeur,
Vous êtiez là pour le donner
à sa mission de Rédempteur.

4 – Dans son royaume de lumière
où Dieu vous place auprès de lui,
Vous êtes reine et vous brillez
comme l’aurore après la nuit.

5 – Et désormais, dans tous les temps,
pauvres et grands de l’univers
Vous béniront d’être la Mère
en qui le Verbe s’est fait chair.


Vierge propice aux marins

Vierge propice aux marins,
conduis ma barque au rivage,
garde-moi de tout naufrage,
blanche étoile du matin.

1. Lorsque les flots en courroux
viendront menacer ma tête,
calme, calme la tempête
rends pour moi le ciel plus doux.

2. Combien d’écueils dangereux
sur cette mer inconnue,
découvre-les à ma vue,
phare toujours lumineux.

3.Fais briller un ciel d’azur,
dissipe tous les nuages,
et que malgré les orages,
mon cœur reste toujours pur.

4. Mais si jamais, ô douleur,
sombrait ma barque légère,
que je puisse à Ta lumière
saisir un débris sauveur.